A Toi.
J'aime ton visage, pour sa pureté éclatante. J'aime tes traits, si fins qu'ils semblent avoir été dessinés par Léonard de Vinci lui-même. J'aime ton sourire, qui tel un soleil d'hiver illumine la blancheur de ma vie. J'aime cette mèche qui te tombe sans cesse devant les yeux et que tu pinces délicatement entre tes doigts pour l'écarter. J'aime ta bouche qui m'attire comme un aimant. Je rêve d'y déposer un baiser, quelque chose de doux et sucré, comme une promesse faite du bout des lèvres. Oui, décidément j'aime ta bouche. Je l'aime presque autant que ton nez, appendice divin, dont Cyrano, lui-même doit en être jaloux. J'aime ton nez. Parfois, je me dis que toute la beauté de Dieu s'est incarnée dans ton nez. Tes mains ne sont pas mal non plus. Rien n'est comparable à tes mains. Je pourrais te dire qu'elles sont douces comme la fourrure d'un ours blanc, mais ce serait loin de la réalité : tes mains sont bien plus que ça. J'aime le son de ta voix, aussi doux et mélodieux que le chant d'un hautbois dans un concerto de Mozart. J'aime ta silhouette, qui quand elle se profile au loin me donne des frissons. Au cas où tu ne l'aurais pas encore compris, je crois bien que je t'aime.
PS : Veuillez pardonner la mièvrerie et le manque d'intérêt de ce texte.
“Monsieur Hugo... Faire des compliments à celle qu'on aime est la première façon de faire des caresses, c'est une demi-audace qui s'essaye. Le compliment, c'est comme le baiser à travers le voile. La volupté y met sa douce pointe, tout en se cachant. Devant la volupté, le coeur recule pour mieux aimer ?" (Juliette Drouet, amante et muse de Victor Hugo)
J'aime ton visage, pour sa pureté éclatante. J'aime tes traits, si fins qu'ils semblent avoir été dessinés par Léonard de Vinci lui-même. J'aime ton sourire, qui tel un soleil d'hiver illumine la blancheur de ma vie. J'aime cette mèche qui te tombe sans cesse devant les yeux et que tu pinces délicatement entre tes doigts pour l'écarter. J'aime ta bouche qui m'attire comme un aimant. Je rêve d'y déposer un baiser, quelque chose de doux et sucré, comme une promesse faite du bout des lèvres. Oui, décidément j'aime ta bouche. Je l'aime presque autant que ton nez, appendice divin, dont Cyrano, lui-même doit en être jaloux. J'aime ton nez. Parfois, je me dis que toute la beauté de Dieu s'est incarnée dans ton nez. Tes mains ne sont pas mal non plus. Rien n'est comparable à tes mains. Je pourrais te dire qu'elles sont douces comme la fourrure d'un ours blanc, mais ce serait loin de la réalité : tes mains sont bien plus que ça. J'aime le son de ta voix, aussi doux et mélodieux que le chant d'un hautbois dans un concerto de Mozart. J'aime ta silhouette, qui quand elle se profile au loin me donne des frissons. Au cas où tu ne l'aurais pas encore compris, je crois bien que je t'aime.
PS : Veuillez pardonner la mièvrerie et le manque d'intérêt de ce texte.
“Monsieur Hugo... Faire des compliments à celle qu'on aime est la première façon de faire des caresses, c'est une demi-audace qui s'essaye. Le compliment, c'est comme le baiser à travers le voile. La volupté y met sa douce pointe, tout en se cachant. Devant la volupté, le coeur recule pour mieux aimer ?" (Juliette Drouet, amante et muse de Victor Hugo)
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Alors tu peux déjà être fière de toi, ce que tu écris est tout simplement maginfique :)
RépondreSupprimerEt non aucune miévrerie dans ce texte, tu écris des choses Vraies et joyeuses :)
Voila donc sois fière tu écris magnifiquement <3
besos.